Flex : de la parole aux actes

Lors de sa venue au CNSHSCT du 6 février, Stéphane Richard a apporté des réponses à un certain nombre de nos inquiétudes. Sur la question de l’excès de réorganisations et des projets mal menés, il a répondu : « Il faut veiller à l’accumulation excessive de certains projets et à ce que la saisine des IRP ne devienne trop compliquée ». Sur le flex desk de plus en plus imposé, il a déclaré : « Je ne suis pas pour le tout flex et je ferai passer ce message, pas de jusque boutisme ni de dogmatisme, il faut être attentif également aux propos et études des sociologues. Vous pouvez compter sur moi pour délivrer ces messages. Je suis convaincu que nous aurons un retour en arrière sur ces modes d’organisation. Soyons en anticipation mais ne calquons pas systématiquement sur ce qui existe et ce n’est pas forcément bon vous l’avez dit pour nos salariés à Orange ». FOCom attend que ces bonnes intentions se concrétisent sur le terrain.