Clients

A l’ordre du jour du CNSHSCT ?

Les évènements récents ont donné lieu à des actes de violence dans certaines boutiques du réseau de distribution, voire d’autres établissements d’Orange, avec des conséquences traumatisantes pour certains salariés.
Dans le cadre du CNSHSCT des 19 et 20 décembre, la délégation FOCom demande qu’un point spécifique sur la situation nationale à date soit présenté avec un focus particulier sur :
– Les boutiques et autres établissements Orange concernés
– La description des actes de vandalisme et des agressions et leurs conséquences pour les salariés
– La gestion de crise
– La prévention des risques

Boutiques Orange : la rentrée va encore être chaude !

L’été s’est avéré difficile dans les bou-tiques. Et pas seulement à cause de la chaleur ! Parlons chiffres tout d’abord : de 2012 à 2017, le nombre de points de vente sous la bannière Orange (AD, Mobistore et GdT) est passé de 1123 à 610. Dans le même mouvement, les effec-tifs (ETP moyens) de la relation clients grand public d’Orange SA (Unité d’As-sistance Technique, Service Clients, Agences Distribution) ont fondu de 23 %entre 2015 et 2018. Ils ont baissé de 11 % dans les boutiques et de 34 % dans les centres d’appels.
La transformation du réseau de distribution d’Orange sur le territoire francilien se pour-suit à un rythme accéléré, les premières difficultés commencent à apparaître. Pour exemple, en 2019, l’Île-de-France devrait compter 51 boutiques des Agences de Distribution (Orange SA) et environ 25 boutiques de la Générale de Téléphone (filiale). Ce sera trois fois moins qu’en 2012. Le réseau exclusif de l’enseigne Orange détenait alors 211 boutiques franciliennes, dont 109 en maison mère. La conséquence directe est que le mécontentement grandit, que ce soit chez les clients ou chez les conseillers et managers.
Derrière ces données, ce sont les conditions de travail et la qualité rendue à nos clients qui sont impactées. Le rapport annuel des médecins alerte notamment sur les incivilités et les agressions subies par les personnels en conséquence des files d’attente. Il dénonce le mal-être des conseillers commerciaux qui ont le senti-ment que rien n’est fait pour améliorer la situation et celui des managers qui souf-frent de leur impuissance. La charge de travail est aggravée par les transforma-tions incessantes de l’entreprise. Tous ces éléments nous confortent dans notre exi-gence d’obtenir d’urgence des recrute-ments et de la reconnaissance.

Boutiques : la rentrée va encore être chaude

L’été a été difficile dans les  boutiques. Et pas seulement à cause de la chaleur ! Parlons chiffres d’abord : de 2012 à 2017 le nombre de points de vente sous la bannière Orange (AD, Mobistore et GdT) est passé de 1123 à 610. Dans le même mouvement, les effectifs (ETP moyens) de la relation clients grand public d’Orange SA (Unité d’Assistance Technique, Service Clients, Agences Distribution) ont fondu de 23% entre 2015 et 2018. Ils ont baissé de 11% dans les boutiques et de 34% dans les centres d’appel.
Derrière ces données, ce sont les conditions de travail et la qualité rendue à nos clients qui sont impactées. Le rapport annuel des médecins alerte notamment sur les incivilités et les agressions subies par les personnels en conséquence des files d’attente. Il dénonce le mal-être des conseillers commerciaux qui ont le sentiment que rien n’est fait pour améliorer la situation et des managers qui souffrent de leur impuissance. La charge de travail est aggravée par les transformations incessantes de l’entreprise. Tous ces éléments nous confortent dans notre exigence d’obtenir d’urgence des recrutements et de la reconnaissance.